La nouvelle devrait être officialisée lors de la COP29, qui se tient actuellement en Azerbaïdjan, à Bakou : les narcotrafiquants devront désormais utiliser exclusivement des véhicules électriques pour réaliser leur go-fast.
Le sujet est en tête de nombreux écologistes depuis plusieurs années : ces gros moteurs thermiques, à base de V8, V10 ou V12 utilisés pour les go-fast, lancés à toute vitesse sur nos autoroutes sont un désastre écologique. En moyenne, selon l’association « Pour un go-fast plus respectueux de l’environnement », les trajets réguliers « Sud de l’Espagne - Paris » engendrent l’émission de CO2 équivalent au total annuel d’une famille de 5 personnes.
Suite à cette étude, les élus européens ont cherché une solution pour réduire l’impact environnemental de l’importation illégale de stupéfiants sur le territoire français. D’abord, ils ont souhaités mettre un terme au trafic de stupéfiants, mais trop coûteux. Ils ont donc opté pour une seconde mesure : obliger les narcotrafiquants à utiliser des véhicules électriques pour leurs go-fasts.
Extrait du projet de loi : « Toute personne établie comme narcotrafiquant, ou pouvant être assimilée comme telle, devra désormais rapatrier ses marchandises par véhicule doté d’un moteur électrique. En cas de non respect de cette mesure, le contrevenant se verra infliger une amende de 45€ et une obligation de suivre un stage de sensibilisation aux effets du réchauffement climatique. ».
Voilà qui devrait en dissuader plus d’un !