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Un canapé-lit refuse d’entrer au catalogue de La Maison de Literie, arguant une présomption de genre méprisable.

Un lit-tige semble être né entre ce canapé lit et son enseigne de commercialisation.
21 septembre 2024 par
Un canapé-lit refuse d’entrer au catalogue de La Maison de Literie, arguant une présomption de genre méprisable.
France Infox

L’année 2024 n’est pas encore terminée, mais son lot de surprises est déjà bien remplie. Hier, un canapé-lit a refusé d’entrer au catalogue de l’enseigne « La Maison de Literie » sous prétexte qu’ils présumaient de son genre en le cataloguant comme lit sans se soucier de ce qu’il ressent. 

Les genres, c’est dépassé. N’est plus une femme ou un homme celui qui s’identifie comme autre chose, quitte à devenir un objet ou un animal. Et c’est très bien ainsi. Mais cela ne s’arrête plus aux êtres humains puisque les objets commencent à ressentir les mêmes maux quant à leurs affiliations de genres. 

En effet, en début de semaine dernière, l’enseigne spécialisée du sommeil « La Maison de la Literie » a été confrontée à un problème de taille. Un canapé-lit, du nom de Richard, a refusé d’entrer dans leur catalogue commercial sous prétexte qu’ils estimaient de facto qu’il était un lit, sans lui demander son avis. 

« Au fond, je me suis toujours senti canapé », nous explique Richard, « je ne me perçois pas comme un lit, ça ne me correspond pas. Je n’ai donc rien à faire dans le catalogue de ‘La Maison de la Literie’, soyez en sûrs ! ». Avant de poursuivre : « Cela m’a profondément bouleversé quand j’ai appris qu’ils allaient me ranger dans la case sociale ‘lits’ sans même me concerter. Par contre, je me verrais bien au catalogue de ´But’ ou ‘Conforama’. » conclut-il.

Un canapé-lit refuse d’entrer au catalogue de La Maison de Literie, arguant une présomption de genre méprisable.
France Infox 21 septembre 2024
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